Lonesome cowboy du sud-ouest de la France, enfant de Bayonne, Bastien Duverdier alias Kepa a apprivoisé le blues du sud profond avant de l’habiller des atours du XXIe siècle. Son truc à lui, c’était le skate. Après une chute, le musicien Kepa a trouvé dans la guitare et le blues un refuge pour dépasser la douleur.
"Divine Morphine" est le second album de Kepa, trois ans après "Doctor, Do Something" réalisé par Timber Timbre. Le docteur, puis la morphine : Kepa joue sa musique (un dérivé du blues sur une guitare en métal, avec l’esprit d’aujourd’hui) d’abord pour son bien, puis pour celui les autres. Conçu pendant des périodes de troubles personnels et enregistré en temps de covid, "Divine Morphine" est un remède de cheval fou, entre licorne et pégase, monté par un chanteur en état de transe opiacée. Kepa explore la guitare primitive, le folk psychédélique, le beat dance, les reprises (Césaria Evora, Skip James) et surtout ses propres obsessions, en quête de sa liberté de musicien.
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